Mercredi 1er mai 2019


La pyrale du buis, papillon détesté ici, a laissé la place à d’autres, nombreux ici, qui laissent indifférents les autochtones, les machaons.

J’ai oublié de mentionner que durant tout mon périple, j’ai été accompagné par le chant du coucou. C’est toujours un ravissement, comme aujourd’hui le chant du rossignol.

Comme dernier jour de repos, j’ai bien choisi. Sous le soleil le Cirque de Navacelles est extraordinaire. Comme c’est le 1er mai, il y a beaucoup (trop) de monde.

Comme je me baladais dans les environs, j’ai trébuché et tombé sans aucun mal, je vous rassure, mais c’est là qu’on voit que sans les bâtons et une attention de chaque instant, on fait comme dit ma fille Valérie, on s’achoppe à chaque pierre.

