Voilà c’est parti. Je commence bien, par une entrecôte au Café de Paris à Genève. Le Café de Paris est une institution à Genève et je suis heureux d’y être retourné. La première fois c’était en 1965 et la dernière il y a quelques années avec Marc-Henri.
Ce qui est marrant, c’est que tu t’assieds et la Miss te demande: « saignant ou à point » et ensuite « que voulez-vous boire? »
Il est 19h30 je suis arrivé au Puy en Velay. J’ai rencontré dans le train un jeune couple charmant de Parisiens et nous allons manger ensemble ce soir.
Nous nous sommes retrouvés dans un restaurant fabuleux le Tournayre, rue Chênebouterie (Je n’ose pas trop parler de bouffe mais quand même, la Ballotine de caille aux pistaches et l’agneau de pays en trois façons étaient excellents). Avec Estelle et David les deux acteurs de théâtre parisiens, on a parlé un peu de grève, qu’ils comprennent, car ce sont toujours aux bas salaires à faire des efforts. C’est difficile de comprendre pour moi quand on vient de l’étranger, moi qui parlait de rénovation. Si vous faites le voyage en TER, vous comprendrez.
Eux, ils partent demain, mais pour quelques jours seulement. Quant au voyage en train, je l’ai trouvé pénible, heureusement ça ira mieux à pied.
Ce samedi, je vais aller voir partir les pèlerins, question d’ambiance, et je me reposerai avant de partir dimanche matin.
A la suite de la bénédiction des pèlerins, à l’intérieur de la cathédrale, une soeur ouvre une sorte de trappe et les pèlerins sortent par là, du centre de l’édifice directement sur le Chemin.
Et notre charmant couple …
Aujourd’hui vers la statue de la vierge ça soufflait pas mal.
Et ce soir, Jean François tu me connais, quand j’aime un endroit j’y retourne. Je me retrouve au même restaurant, et après étude de la carte, je reprends la même chose que hier soir.