Première surprise. On y habite… malgré la vétusté
Je n’arriverai jamais à comprendre les compagnies d’aviation. Ils chargent d’abord l’avant de l’avion et ensuite les autres doivent attendre, bousculer les premiers arrivants pour atteindre leurs places. Ne me dites pas que c’est pour que les premières classes soient les premières à s’assoir, car moins on est longtemps dans l’avion, mieux c’est. Il faut vraiment que je me renseigne. D’autant plus que l’autre jour, quelques passagers ont oublié d’embarquer, ce qui fait que le personnel de la compagnie a dû débarquer leurs bagages, en presque une heure quand même.
Avec un vol de 10h30 à ajouter ça fait pas mal, surtout que le Boeing 777 d’Air France a été conçu sûrement par des non-américains, car la largeur des sièges ne permet pas à un homme normal comme moi à s’asseoir. Je touchais de chaque côté. J’avais réussi à obtenir des places près des issues de secours ce qui fait que pour les jambes au moins, ça allait très bien. Il faut dire aussi que ces places étant très limitées, ton voisin, par exemple, le danois d’aujourd’hui, fait 2m et 120 kilos.
Cette nuit j’ai trouvé une explication sur l’embarquement en réfléchissant, pas par internet, il n’y a pas de réseau ici. Serait-ce une question de répartition de poids ? A confirmer.
Air France doit encore faire des efforts pour les repas. Plus de 12 heures dans l’avion avec un seul repas, c’est insuffisant pour une personne comme moi. Responsable de la sortie de secours, il faut que j’aie les idées claires, non. Ensuite, pour la première fois de mes nombreux voyages, les gens allaient se servir de boissons, de sucreries dans la partie réservée au personnel. Certains ouvraient même les compartiments où sont rangés, la nourriture, les boissons et tout le reste. Incroyable… n’est pas français.
A l’arrivée les formalités douanières se sont passées sans problème particulier, sauf qu’à l’arrivée ici on scanne à nouveau vos bagages à main. Et par hasard ils ont découvert dans mon sac à dos une petite lampe de poche que j’y avais glissée. Les filles aux bas résille, et oui c’est vrai cela rassure les touristes peut-être, n’ont rien laissé passer, elles, pas comme à Genève et à Paris. Le transfert était assuré et nous sommes arrivés à l’hôtel vers 21 h soit plus de 24 heures après avoir quitté la maison.
Depuis la chambre d’hôtel (Le Deauville)
Depuis le balcon de la chambre d’hôtel
Une statue
Une de leurs célèbres voitures
Et quelques autres
Je voulais une photo d’un Mig. Photo prise lors du tour de ville
Avec notre guide Mavie et notre voiture pour le tour de ville
Le hall d’entrée de la maison arabe
Magnifique
Sur Malecón – Les pêcheurs